Dans notre démarche vers un mode de vie plus écolo, nous avons aujourd’hui fait l’acquisition d’un composteur. 🙂
Depuis 2 ans déjà, nous voulions nous mettre au compostage, vu la quantité de déchets organiques que notre (de plus en plus) grande famille produit quotidiennement. Plusieurs raisons nous ont par contre forcés à attendre. Tout d’abord, nous habitions un appartement, et le propriétaire était absolument contre un composteur de balcon, peu importe le type de composteur ou de compostage que nous lui proposions! L’utilisation d’un petit bout de terrain alentour des appartements nous était aussi refusée.
Nous avons par contre fait l’acquisition d’une maison au cours de l’été 2013. 🙂 Étant enceinte de plusieurs mois et avec tout le travail qu’implique un déménagement, nous avons choisi de ne pas beaucoup s’occuper de l’extérieur de la maison pour la première année. Ces mois d’hiver nous ont cependant donné la possibilité de bien penser au type de jardin que nous souhaitions concevoir. C’est de cette façon que la permaculture s’est dévoilée à nous. 🙂
Ceci dit, le printemps se pointant le bout du nez et bébé ayant déjà quelques mois, l’envie d’aller jouer dans la terre me titille tellement que j’en ai des fourmis dans les doigts! Les chauds rayons du soleil font fondre la neige à vue d’oeil dans ma cour et nous invite chaleureusement à s’y aventurer! 🙂
Voici donc la bête en question:
Le vermicompostage a d’abord été notre premier choix; mais avec les restrictions de la ville quant aux odeurs et autres désagréments dus au compostage, nous avons préféré opter pour un tambour. Aussi, avec ce formulaire
ainsi que quelques autres procédures administratives, nous aurons droit à un remboursement de 50% sur le prix d’achat de notre composteur grâce à une subvention de la MRC; ce qui est une bonne nouvelle selon moi! 🙂 Le compostage à plus grande échelle s’organisera proportionnellement en temps et en taille selon que le jardin s’agrandira plus ou moins rapidement d’une saison à l’autre.
Nous voici donc bien engagés sur le chemin d’une vie de plus en plus écolo. 🙂 Comme on dit: C’t’une bonne affaire de faite! 😉
Bonjour
Cela fait plusieurs années que j’ai démarré un compost sur mon terrain, à l’air libre et pratiquement sans odeur.
J’ai en fait un terrain assez grand pour me permettre un composteur en « 3 étages ».
Le premier recueille la paille, l’herbe ou les petits branchages.
Le second recueille un peu de terre, du fumier que je récupère chez mon voisin (fumier de cheval), mes déchets organiques. Je mélange le tout, et je recouvre régulièrement d’une bonne épaisseur de paille ou herbe (de tonte).
Le troisième recueille le compost fait (entre 2 et 3 ans) pris sur le devant du second étage.
Le résultat pour moi est le suivant: quasiment aucune odeur et un bon compost.
Comme quoi, compost ne rime pas forcément avec odeur forte et désagréable si on fait les choses comme il faut.
De plus, comme je le fais à même la terre, les verres de terre s’en donne à cœur joie à l’intérieur.
J’espère que mon expérience pourra vous servir.
Bonne journée et bon jardinage…
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Merci de me partager votre expérience. Nous avons bien hâte de voir en combien de temps nous arriverons à avoir un bon composte! 🙂
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